L’avis du Gouvernement est favorable, pour trois raisons.
Premièrement, comme on vient de le voir, le système ne fonctionne pas.
Deuxièmement, le CPF est un droit personnel, fondé sur le principe d’universalité. L’internalisation est donc quelque peu contradictoire avec sa philosophie.
Troisièmement, le coïnvestissement et la coconstruction sont possibles par accord individuel d’entreprise ou de branche.
La gestion internalisée du CFF n’a pas fait ses preuves et ne sert pas à grand-chose.