L'exercice auquel nous nous prêtons prouve combien le vrai débat se déroule dans l'Hémicycle. Nous essayons, avec les amendements n° 480 et 481, d'encadrer le recours aux CDD et aux contrats d'intérim afin de les limiter. Pourquoi les rejeter ? Notre réflexion est identique s'agissant du temps partiel. Ces dispositifs représentent une fuite en avant pour les salariés concernés !