Tout d’abord, je vous remercie, monsieur le président, d’avoir accordé ce délai de réflexion aux membres de la commission des affaires sociales. Après en avoir discuté, il nous semble a priori impossible d’achever l’examen du projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel dans les délais qui nous sont impartis, c’est-à-dire d’ici demain, dix-huit heures.
À l’issue de cette réunion, nous souhaitions demander l’inscription à l’ordre du jour du lundi 16 juillet de la suite éventuelle de l’examen de ce texte. Or nous venons d’apprendre que le Gouvernement demandait justement la modification de l’ordre du jour que nous appelions de nos vœux. Nous sommes donc d’accord, pour une fois, avec le Gouvernement : ouvrons le lundi matin !