Notre pratique est la suivante : chaque fois que le sujet doit être traité au niveau interministériel, un ministre est tête de file. S’ensuit un travail effectué en commun au sein de l’État.
Sinon, le ministre chargé de la formation professionnelle devrait, par réciprocité, désigner aussi des personnes qualifiées dans divers organismes de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, ce qui créerait de la complexité. Le rôle du Premier ministre est de coordonner le travail interministériel, ce qui évite de procéder à des nominations croisées.
Pour cette raison, le Gouvernement émet un avis défavorable sur ces trois amendements identiques.