Nous avons déjà rejeté à l’article 1er des amendements visant à confier la gestion du CPF aux OPCO lorsque les employeurs financent les abondements.
Le projet de loi prévoit une gestion directe du CPF par la Caisse des dépôts et consignations. Réintroduire un intermédiaire dans certains cas seulement entraînerait une complexification des circuits de paiement qui ne nous paraît pas souhaitable.
Les uns et les autres, nous sommes en permanence confrontés sur le terrain à des demandes de simplification de tous ordres. La commission a donc entendu simplifier. Je ne suis pas persuadée que le système proposé, plus complexe, serait plus pertinent ni gage d’une plus grande rapidité pour le titulaire du CPF.
L’avis est donc défavorable sur ces amendements.