Je ne me suis pas concerté avec mon collègue Ronan Dantec, mais il me semble important d’intervenir.
Notre collègue ultramarin a parlé de résilience ; il n’est pas anodin que la première proposition d’intégrer cette notion dans la loi vienne de l’outre-mer, parce que les habitants de ces territoires sont aux premières loges. Pour autant, nous sommes tous concernés et, comme pour l’artificialisation des sols dont je parlais, nous avons tendance à regarder ailleurs et à ne pas nous rendre compte de l’extrême gravité de la situation.
C’est pourquoi je soutiens pleinement l’intégration de la notion de résilience dans le code de l’urbanisme, comme le propose cet amendement.