La leçon est celle-ci : le Président de la République déclare devant le public auquel il s’adresse ce que celui-ci veut entendre et le Gouvernement, ensuite, défend une autre ligne, ce que je ne vous reproche pas, monsieur le ministre… Je comprends vos arguments !
Ce que nous voulons dénoncer aujourd’hui, c’est le fait que cette distorsion de la parole publique dévalue gravement le crédit de l’autorité publique.