L’avis du Gouvernement est également défavorable.
Le sujet relève effectivement d’une grande technicité. Il s’agit de mettre le SCOT en compatibilité avec un peu plus d’une quinzaine de documents d’urbanisme. J’ai la conviction qu’il sera possible de réaliser un tel travail en dix-huit mois tout en associant les élus.
Ainsi que m’y invite Mme la rapporteur, je m’engage à faire en sorte que les élus, notamment les membres de la Haute Assemblée, soient très étroitement associés aux travaux qui découleront de l’habilitation.