Le plus gros scandale, c’est que, pendant des années, on ne se soit jamais demandé comment revoir complètement le financement du logement social.
Je reprends la comparaison de Mme Lienemann : au moment où nos voisins allemands et britanniques bénéficiaient de taux très faibles, les bailleurs sociaux français se voyaient infliger des taux exorbitants. C’est pour cela, comme vous l’avez dit, monsieur Dallier, que l’on a fait ce package financier avec la Caisse des dépôts et consignations et pris des dispositions concernant le livret A. Il faut aller encore plus loin.