Je n’ai été totalement convaincu ni par M. le rapporteur ni par M. le secrétaire d’État.
Comme je l’ai souligné, le risque de tsunami est très spécifique et l’on ne saurait le confondre avec une simple inondation. Je le répète, un tsunami est précédé d’un retrait de la mer, suivi d’une vague particulièrement dévastatrice, avec un phénomène d’aspiration gigantesque vers le large. Ce sont autant d’éléments qui plaident pour une prise en compte spécifique du phénomène.
Voilà pourquoi je maintiens mon amendement, madame la présidente.