Monsieur le ministre, vous m’aviez fait la même réponse devant la commission des affaires économiques et par courrier.
Vous savez ce qui vous reste à faire : les saliculteurs n’ont pas besoin simplement d’une réflexion parlementaire, mais d’une vraie réponse ! Cette réponse ne saurait venir dans deux ou trois ans : eux, ils travaillent, ils sont tous les jours au turbin ! Si vous voulez que des jeunes s’installent et conservent l’ambition de faire perdurer cette profession, il faut les protéger et les soutenir, réellement et non virtuellement !
Je vous remercie, monsieur le ministre, de prendre en considération cette demande et de vous montrer très actif et réactif.