Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse, mais vous comprendrez qu’elle ne me satisfait pas et ne saurait calmer les inquiétudes des arboriculteurs français, qui sont régulièrement pénalisés par les surtranspositions de textes européens.
Monsieur le ministre, c’est un cri d’alarme que poussent les arboriculteurs de nos vergers alpins !
À ce jour, le travail de recherche, pourtant important, est insuffisant. Les investigations doivent s’intensifier afin de proposer aux arboriculteurs une sélection de matériel végétal très tolérant ou résistant à la bactérie, d’évaluer la sensibilité au feu bactérien du matériel végétal actuel, par variétés et porte-greffes, et de rechercher des méthodes alternatives pour lutter contre le feu bactérien. L’arboriculture française compte sur vous, monsieur le ministre !