Merci, madame la ministre. Je prends acte de votre réponse.
J’entends bien les annonces que vous faites. Toutefois, elles ne se traduisent pas sur le terrain aujourd’hui. Dans nos permanences, nous recevons régulièrement de jeunes couples en désarroi absolu. Quand on leur dit qu’on va mettre leur enfant dans un établissement ordinaire – c’est le mantra –, faute de place en établissement spécialisé, ils se disent : « Pourquoi pas ? » Le problème est que les moyens adaptés ne sont pas assurés. En outre, certains cas d’autisme ne relèvent pas du milieu ordinaire.
Madame la secrétaire d’État, il faut tenir les deux bouts de la chaîne, et il y a urgence. Je vous remercie de votre engagement dans ce domaine.