Ce travail été nécessaire : merci à notre rapporteur.
Nous devons réduire les importations de plante en mobilisant les chambres d'agriculture et l'outre-mer.
Le rapport mentionne des risques d'interaction entre plantes et médicaments ; c'est bien le pharmacien qui contrôle l'ordonnance du médecin. Il est dit que 5 % des signalements aux centres antipoison sont dus aux plantes. L'herboriste ne pourrait-il pratiquer sous la responsabilité d'un pharmacien ? N'oublions pas le maillage territorial des pharmacies.
Nous pourrions proposer une formation diplômante et une autre formation - comme des BEP ou CAP délivrés par les chambres d'agriculture - de paysan herboriste.
Lors de leurs études, les pharmaciens font beaucoup de botanique mais sans doute pas assez d'herboristerie : pourquoi ne pas demander de renforcer l'enseignement de cette matière ?