Si tous les partenaires semblent s'accorder sur la nécessité de préserver l'intégrité du territoire syrien, la politique turque soulève de nombreuses questions. Il y a d'abord eu la « no-fly zone », puis cette intervention à Afrin. Dans le nord de la Syrie se trouvent le PKK et 15 à 20 000 rebelles. La Turquie veut-elle faire de cette zone un glacis ?