Le baccalauréat étant un « monument historique » de notre société, sa réforme est évidemment symbolique et politiquement délicate. J’espère sincèrement que vous et votre administration ne retomberez pas, pour éviter d’éventuelles critiques en cas de baisse du pourcentage des reçus, dans les faux-semblants et le clair-obscur.
Nos jeunes ont besoin d’être bien formés, bien évalués, pas d’être bercés par de fausses vérités.