Vous avez raison, notre travail n'aurait pas de sens s'il était uniquement tourné vers le passé. Ce passé nous mobilise, mais le défi est de continuer à lutter contre toutes formes d'esclavage. Les images que vous évoquez, d'une violence incroyable, ont provoqué énormément de réactions à travers le monde. Elles posent aussi la question des flux migratoires, du développement, de l'existence de zones qui sont de véritables chaos, en Libye notamment, en attente de solutions pacifiques à des problèmes politiques.
La fondation n'a pas la prétention de prendre en charge la totalité des questions. Par contre, nous pouvons être une force d'interpellation et n'occulter aucune interrogation.