J’en termine, monsieur le président. C’est vrai que j’abuse un peu de mon temps de parole.
Monsieur Durain, plutôt que de rester dans l’attente et de se dire que l’on a tout ce qu’il faut, alors même que ce n’est pas suffisant, il faut reconnaître que le texte de Bruno Retailleau a une qualité : il montre qu’il faut avoir les pieds sur terre, qu’il faut prendre les choses en main et élaborer des mesures, que la commission a d’ailleurs corrigées.
Ce texte a le mérite d’apporter des solutions nouvelles à une difficulté majeure et grandissante.