Je vous entends bien, madame la secrétaire d’État. Permettez-moi toutefois de citer l’exemple de l’interdiction du diméthoate durant le précédent quinquennat et qui a posé, pendant quelques années, un problème de concurrence de notre agriculture avec celle d’autres pays. Le souhait du gouvernement auquel vous appartenez d’interdire le glyphosate posera le même problème. Il est donc important que l’interdiction de matières dangereuses soit traitée au niveau européen avant de l’être au niveau national.