Il existe sans doute d’autres entreprises travaillant à feu continu, telles que des fonderies, qui sont concernées. Ayant eu l’occasion de travailler dans de telles entreprises, je ne crois pas que le cas de cette verrerie artisanale de Haute-Saône soit unique. Cela m’amène à être prudent.
Je ne suis pas opposé par principe à une telle mesure, mais il faut en mesurer l’impact. À cet égard, la proposition de M. le ministre est intéressante. Il ne s’agit en aucun cas de botter en touche, mais d’étudier la question plus à fond.
La commission demande donc, elle aussi, le retrait de cet amendement.