Je pense que nous devons travailler à une interdiction pure et simple des bonbons dont le nom évoque l’alcool. Ce phishing des industriels à l’égard de nos jeunes leur laisse penser que l’alcool est sans danger dans des produits de consommation courante. C’est donc un vrai sujet de santé publique.
En revanche, ma réponse sera la même qu’à l’Assemblée nationale : je ne pense pas que la taxation soit la bonne méthode et je vous propose plutôt de travailler à une interdiction pure et simple.