On pourrait décider de remettre en cause le système et, pourquoi pas, d’en discuter. Mais, aujourd’hui, l’intégralité des emprunts toxiques est bien à la charge des établissements. Or nous nous portons quelque part garants de la capacité d’un hôpital à continuer à payer lorsqu’il est en déficit et n’est plus capable d’avoir de la trésorerie. C’est alors nous qui payons.