Sur le fond, je partage l'objectif de ces amendements. Le mandat de président du conseil de surveillance n'implique pas de pouvoir décisionnel ni exécutif, contrairement aux conseils d'administration des hôpitaux. C'est une question qui mérite d'être soulevée.
Néanmoins, le rapporteur a raison. On peut difficilement adopter ces amendements, tout en rejetant in fine la proposition de loi organique.