… et qu’il permettait d’adoucir la situation.
J’interviens aussi parce que vous dites, monsieur le secrétaire d’État, que, si l’amendement du rapporteur général qui tendait à créer un moratoire de plusieurs années n’avait pas été adopté, vous auriez pu avoir un peu plus d’indulgence. Mais on ne vous parle pas de cela, monsieur le secrétaire d’État ; on vous parle d’un dispositif qui pourrait être permanent, d’un outil de gestion des cours qui permettrait d’offrir plus de souplesse et de pragmatisme. Il faut le voir de cette manière et non comme un amendement de repli par rapport à un autre dispositif. Nous proposons une solution qui peut accompagner l’évolution des cours du pétrole et adoucir un tant soit peu, dans certaines situations, les variations brutales des cours.