Je me réjouis de l’avis favorable du Gouvernement sur les deux amendements identiques. C’est enfin un geste en cohérence avec la volonté de transition écologique qu’il a affirmée.
Je regrette simplement l’absence de continuité à l’amendement n° I-434 rectifié portant sur le B100. Ce nouveau carburant réduit de 80 % les émissions de particules fines et de 60 % celles de CO2. S’agissant d’un carburant naissant, la mesure ne coûtera pratiquement rien. Néanmoins, ce serait un signe extrêmement favorable. Certes, il ne s’agit pas d’un carburant de deuxième génération, mais nous n’en sommes pas encore là : il faudra plusieurs années pour y parvenir ; c’est très compliqué.
Donc, encourageons les carburants qui sont vertueux aujourd’hui et donnons enfin des signes favorables dans ce budget !