M. Édouard Philippe, Premier ministre. Je comprends que vous formuliez cette proposition, car elle est conforme à ce que propose votre famille politique depuis très longtemps. Non seulement je n’y crois pas, mais je sais quel a été l’impact régulier des augmentations que vous décrivez, lorsqu’elles sont intervenues, sur le chômage, notamment sur celui des salariés les moins formés.