Je comprends tout à fait là l’objet de cet amendement s’agissant des départements qui comptent des zones rurales mal couvertes, mais permettez-moi de vous parler encore de la Seine-Saint-Denis.
Alors que j’étais persuadé que l’ensemble du département était considéré comme une zone sous-dotée – tous mes anciens collègues maires ont des difficultés à recruter des médecins –, j’ai découvert avec stupéfaction, quand la cartographie des communes dotées ou sous-dotées est parue, que certaines communes du département étaient considérées comme normalement dotées. Franchement, je n’ai pas compris ! L’agence régionale de santé a été incapable de m’expliquer : nous avons une enveloppe budgétaire, m’a-t-on dit, il fallait bien répartir…