Pour avoir pris en charge un contrat de rénovation dans une ville touchée par une suppression d’unité militaire, je suis obligé de constater que, en effet, la situation est paradoxale au lendemain du départ d’un régiment professionnel dont nombre d’officiers, sous-officiers et soldats habitaient à l’extérieur des quartiers ou des casernes.
Alors qu’ils laissent des logements libres, parfois peu attractifs, l’une des nécessités pour rendre un peu d’attractivité à la ville privée de ses régiments – je pense à Châlons-en-Champagne – est de rénover les bâtiments.
Sans bien connaître le sujet, je trouve qu’il n’est pas complètement inutile de maintenir le bénéfice de ce dispositif. C’est la raison pour laquelle, monsieur le rapporteur général, je ne suis pas tout à fait enthousiaste à l’idée de vous soutenir, une fois n’est pas coutume…