Je comprends tout à fait que l’on souhaite mettre en place, dans les zones qui ont été récemment ou voilà quelques années très affectées par la suppression d’un régiment, des programmes de revitalisation, mais le débat montre clairement qu’il convient d’avoir une autre approche du logement, une approche territorialisée : il faut que l’ensemble des politiques du logement soient, à mon avis, au moins régionalisées, de façon à définir, par région, les zones qui méritent de bénéficier d’une politique de logements aidés par l’État ou les collectivités territoriales. Tout cela ne peut se faire depuis Paris.