La commission demande le retrait des trois amendements au profit de celui de la commission, et ce pour des raisons simples.
J’ai déjà développé les arguments concernant l’amendement n° II-291 rectifié : il faut ouvrir des autorisations d’engagement et non des crédits de paiement. Quant à l’amendement de notre collègue Emmanuel Capus, il vise à prélever le même montant, à savoir 5 millions d’euros, sur le programme « Politique de la ville », alors que nous proposons de les prélever pour moitié sur les contentieux d’urbanisme et pour moitié sur l’action n° 04, Programme exceptionnel d’investissement en faveur de la Corse, le PIC, parce que tous ces crédits sont sous-exécutés. Les auteurs de l’amendement n° II-261 prévoient, eux, de prélever les crédits sur le programme 135.