Vous m'avez interrogé sur l'obsolescence programmée, la plateforme génomique et les nouveaux métiers. Nous investissons beaucoup dans le renouvellement des équipements. J'ai connu l'époque où la transformation digitale n'était pas au point. À présent, c'est nous qui n'arrivons pas à suivre ! Nous ne pouvons investir que 60 millions d'euros par an dans l'informatique, alors qu'il faudrait 80 ou 90 millions d'euros, si l'on compare avec d'autres pays. Pour les nouveaux métiers, il y a un problème de rémunération. Certaines perles rares ne peuvent se satisfaire des grilles de salaires de l'hôpital, ce qui nous oblige à faire des contorsions.