Monsieur Leconte, je n’ouvrirai pas un débat de fond sur un sujet qui ne relève pas directement de la compétence de mon ministère, mais je tiens à apporter certaines précisions.
D’abord, je n’ai été à l’origine de la fermeture d’aucune ambassade et n’ai l’intention d’en fermer aucune. Cela doit remonter à loin – en tout cas, ce n’était pas sous ma responsabilité.
Par ailleurs, vous ne m’avez pas bien entendu : nous allons tripler le nombre de bourses d’exonération, ce qui signifie que les étudiants susceptibles de ne pas pouvoir payer le montant indiqué, qui est le tiers du coût réel supporté par le contribuable français, bénéficieront d’un dispositif leur permettant de poursuivre leurs études en France.
Par ailleurs, l’ensemble des mesures indiquées ne s’applique pas aux étudiants déjà en scolarité.