Monsieur le secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. Je trouve dommage que la France ait fait le choix d’un système informatique qui, en l’état actuel des choses, ne donne pas satisfaction. Nous connaissons tous les délais d’attente.
À titre d’exemple, la Belgique qui a mis en place un système de plaques d’immatriculation personnalisées payantes, a, dès la première année, perçu à ce titre une recette fiscale d’un million d’euros.