… par rapport à son homologue irlandaise ou allemande. Tel n’est pas le cas aujourd’hui.
Lorsque nous en parlions il y a quelques années avec le Secrétaire général du Gouvernement, il invoquait la future mise en place de la RGPD, qui permettrait, selon lui, de baisser les montants de crédits accordés à la CNIL, parce qu’elle agirait a posteriori. Eh bien, non ! Il a bien fallu se rendre compte qu’il y a un enjeu d’influence.
C’est la raison pour laquelle il faut défendre les crédits de cette agence. J’invite le Sénat à voter le sous-amendement. De plus, j’ai proposé un amendement visant à rétablir les crédits au niveau du bleu budgétaire.