Il s’agit de réabonder les crédits de l’enseignement agricole, qui est victime d’une suppression de 50 postes : une douzaine d’emplois administratifs et techniques, le reste concernant des postes d’enseignants.
Parce qu’il est nécessaire de former des jeunes techniciens de haut niveau dans le domaine agricole, notamment au regard des enjeux environnementaux, parce que nous constatons régulièrement que des jeunes sont refusés dans cette voie d’enseignement faute de place, parce que – chacun soutiendra cette idée ici – nous avons besoin de travailler au développement de l’agriculture et d’une agriculture d’avenir, parce que nous constatons des taux de réussite plutôt en baisse dans cette filière, parce qu’il y a des enjeux d’aménagement du territoire et qu’il y va de l’avenir de l’agriculture française, nous avons besoin d’un enseignement de qualité.