La médecine scolaire est bien sûr un sujet, dont cet amendement permet de parler. Le sujet est toutefois qualitatif, et non quantitatif.
Nous avons les moyens d’assumer ce qu’il faut en la matière, comme vient de le dire M. le rapporteur spécial. L’enjeu, c’est l’attractivité de ce métier. C’est la raison pour laquelle nous le revalorisons dans le cadre du PPCR.
Agnès Buzyn et moi mettons également en œuvre une stratégie complémentaire, que nous avons exposée, afin de rendre effective la visite médicale des enfants de moins de six ans. Elle passe par une association des médecins civils aux médecins scolaires. Il s’agit de réaliser pour de vrai cet objectif éminemment social.
Je suis totalement d’accord avec les arguments de M. le rapporteur spécial. J’émets donc également un avis défavorable.