Nous avons auditionné ce matin le directeur du service national et de la jeunesse, qui nous a dit avoir constaté que bon nombre de jeunes de seize ans n’avaient pas de carte Vitale, qu’ils avaient des problèmes de vue, des problèmes d’audition, des problèmes dentaires et qu’ils étaient des décrocheurs, incapables de comprendre un texte du quotidien.
Nous avons également auditionné les représentants des syndicats sur les violences à l’école, qui nous ont dit qu’ils avaient besoin de médecins du travail, de psychologues pour lutter contre les violences dans les lycées.
Monsieur le ministre, vous prônez souvent l’école de la bienveillance : prendre soin de la santé des enfants, c’est aussi faire preuve de bienveillance.