S'agissant du sous-amendement n° 11 rectifié tendant à interdire l'utilisation de plus de 20 % de PLS, il faut être très pragmatique, et je parle sous le contrôle de Jean-Pierre Caffet, qui est sénateur de Paris et doit rencontrer les mêmes problèmes.
En région parisienne, un certain nombre de personnes et de ménages modestes appartenant à ce que l'on appelle communément la classe moyenne, des couples de fonctionnaires par exemple, ont des revenus à la fois trop élevés pour bénéficier des PLUS et des PLA-I et très insuffisants pour leur permettre d'accéder au parc locatif privé.