Il me reste un dernier sujet à évoquer, celui des violences, car la crainte de ce qui pourrait se passer samedi prochain est en train de devenir la préoccupation majeure.
Ces violences ne sont pas seulement graves en elles-mêmes.
Elles sont graves, d’abord, par leurs conséquences sur ceux que les casseurs prétendent défendre, ceux qui travaillent dans les commerces ou les entreprises détruits et qui ont les mêmes problèmes de fin de mois que les autres.
Elles sont graves, ensuite, pour l’image de la France à l’étranger, qui est en train, une fois encore, de plonger.