Encore une chose, mesdames, messieurs les sénateurs : nous menons une politique d’attractivité, notamment, pour faire venir dans notre pays, après le Brexit, des activités financières qui, certes, sont décriées, mais qui créent de la richesse. Cela nous permettrait de collecter plusieurs milliards d’euros en recettes fiscales supplémentaires.
Voilà les enjeux !
Alors, oui, l’exit tax n’est pas supprimée ; elle est adaptée. Un tel dispositif existe dans un certain nombre de pays européens relativement équivalents au nôtre.
Pour toutes ces raisons, l’avis du Gouvernement sur ces amendements est défavorable.