Notre collègue Delcros l’a dit, nos amendements traitent des zones détendues. Ils maintiennent le dispositif. La différence, c’est la quotité.
Après, il y a la question du coût. On peut sans doute considérer, mon cher collègue, qu’en zone tendue, pour la même surface et le même type de bien, le prix n’est pas le même. C’est un argument non négligeable qu’on peut sans doute faire entendre : à Aurillac, les prix ne sont pas tout à fait aussi élevés qu’à Clermont-Ferrand.
Il serait préférable que le dispositif soit le même partout et pour tout le monde. Le problème concerne les finances publiques, qu’il faut maintenir en équilibre.