Sur le pacte de Marrakech, je regrette que le politique n'ait pas été impliqué plus tôt. Il faut s'interroger sur notre propre fonctionnement. On laisse trop souvent à l'administration la responsabilité de tout gérer. Le politique doit se réapproprier certaines discussions, car le déficit croissant entre l'opinion et la représentation peut aussi provenir du fait qu'on est dépossédé d'une décision que l'on n'a pas prise mais que l'on doit assumer. Notre commission est peut-être la mieux placée pour étudier cette question et faire des propositions visant à se réapproprier la décision.