La solidarité familiale doit bien sûr être encouragée et soutenue ; cela fait partie des devoirs moraux que nous devons amplifier.
Sur le plan de l’avenir de la formation et de l’emploi, madame la secrétaire d’État, je rejoins vos propos : il faut encourager les associations qui, aux côtés des centres de formation des apprentis et des lycées professionnels, portent l’ambition de valoriser les métiers manuels, trop souvent considérés comme des filières de second choix, et d’en faire une voie d’excellence et un puissant levier de transmission des savoirs, d’insertion professionnelle et d’intégration des jeunes.