Je vous remercie de votre réponse, madame la ministre.
Plus que sur les moyens mis en œuvre systématiquement par l’État au nom de la solidarité nationale, c’est sur la lenteur des procédures que je souhaite insister : devoir attendre un an est compliqué.
Faire confiance à l’État « local », au travers des préfectures, pourrait peut-être constituer une avancée.