Il n’y a pas de citoyens de seconde zone, madame la sénatrice. §d’une intelligentsia et d’une forme d’élite politique, qui voudraient être seules responsables du débat politique et s’arroger le droit d’accéder au débat public, qui a nourri en partie le mouvement des « gilets jaunes », lequel en veut non seulement au Gouvernement, mais aussi à l’ensemble de la classe politique.
Ne vous en déplaise, on ne répond pas à des problèmes politiques de 2019 avec des solutions de 1999 !