Je vous recommande également de ne pas jouer avec les peurs des Français concernant le contrôle de l’État ou la capacité que nous avons à protéger nos frontières.
Le contrôle aérien, comme cela a d’ailleurs été rappelé précédemment avec beaucoup de justesse, reste aux mains de l’État. La gestion des trafics reste aux mains de l’État. Le contrôle des frontières reste aux mains de l’État. Le contrôle des investissements reste aux mains de l’État. Je rappelle que notre opération permettra de récupérer le foncier et les infrastructures au bout de dix ans, alors que, dans l’autre cas, vous laissez 49 % dans les mains des investisseurs privés ad vitam aeternam.