Madame la secrétaire d’État, nous parlons de marchés financiers, il ne faut pas avoir peur des termes, mais les assumer !
J’imagine que vous avez évalué, dans l’étude d’impact, combien de personnes, sur ces 20 000 cadres et analystes financiers, pourraient venir en France à la suite du Brexit. J’aimerais que vous nous donniez le chiffre précis ! S’il s’agit de la totalité, on peut avoir un débat ; si c’est quelques milliers, ce n’est pas négligeable ; si c’est une petite centaine, c’est plus contestable.