Madame la sénatrice, la grande avancée du Grenelle de l’environnement est d’ouvrir l’accès d’un certain nombre d’organes de concertation aux acteurs de l’environnement. La référence au développement durable risquerait donc d’avoir un effet contreproductif puisqu’elle ne ciblerait plus les seuls acteurs de l’environnement, les acteurs économiques et sociaux étant déjà représentés au sein de ces différentes instances.