Simplement, les chemins que nous devrions ou aimerions emprunter sont différents. Je crois que le département n’existera que tant qu’il restera un centre de décisions. À chaque fois qu’une décision s’en va, est expatriée, reconcentrée, c’est une partie du département qui s’en va et celui-ci perd de son dynamisme et de sa vitalité.