Comme le disait très bien le sénateur Bourquin, le surréalisme a ses limites. Nous sommes au Sénat, pas dans un atelier de surréalisme ! Et je trouve qu’il y a quelque chose d’étrange à vouloir discuter des conséquences d’une décision que vous n’avez pas voulu prendre.
Enfin, je veux vous dire que ce sont les élus d’Île-de-France qui sont venus me demander d’être censeurs dans le conseil d’administration d’Aéroports de Paris. Cette proposition ne vient pas de moi !
Je ne fais donc, une nouvelle fois, que tendre la main et je note, monsieur le sénateur, que vous ne voulez toujours pas la prendre.